Les Rigolus et les Tristus sont des personnages emblématiques créés en 1969 par le dessinateur et scénariste français Cezard (de son vrai nom, Cezard de la Vigne). Leur première apparition remonte au début des années 1970 dans le célèbre magazine de bande dessinée “Pif Gadget”. Ce magazine, qui a été publié de 1969 à 1993, était connu pour ses histoires humoristiques et ses personnages attachants, et il a joué un rôle crucial dans la culture de la bande dessinée en France. Les Rigolus et les Tristus sont rapidement devenus populaires grâce à leur design simple. Cezard a su capter l’essence de la comédie et de la mélancolie à travers ces personnages, qui sont un reflet des émotions humaines. Les Rigolus, avec leurs visages souriants et joyeux, incarnent la gaieté et l’optimisme, tandis que les Tristus, avec leurs expressions tristes et déprimées, représentent la mélancolie et le désespoir.
Les Rigolus : Ces personnages sont caractérisés par leur bonne humeur, leur optimisme et leur capacité à voir le bon côté des choses. Ils sont souvent représentés en train de rire, de s’amuser, et de profiter des petits moments de la vie. Leur attitude positive est contagieuse et ils apportent une touche de joie dans les histoires où ils apparaissent.
Les Tristus : À l’opposé des Rigolus, les Tristus sont des personnages qui expriment la tristesse, la mélancolie et le pessimisme. Leur apparence est souvent marquée par des traits tirés et des expressions déçues. Ils symbolisent les défis et les réalités de la vie, rappelant au lecteur que la joie et la tristesse coexistent.
Le succès des Rigolus et des Tristus et d’arthur le fantôme a permis à Cezard de se forger une réputation durable dans le monde de la bande dessinée. Ces personnages sont aussi devenus des symboles de la dualité des émotions humaines, illustrant comment la joie et la tristesse peuvent coexister de manière intrinsèque. Les Rigolus et les Tristus continuent d’être des références dans la culture populaire française et font partie intégrante de l’héritage laissé par “Pif Gadget”. Leur message universel et intemporel sur les émotions humaines reste pertinent, attirant de nouvelles générations de lecteurs et de fans de bande dessinée.
Pour autant, cette série doit se lire à « petite dose ». Les histoires sont répétitives, toujours le même combat entre deux clans. Mais c’est avec plaisir que l’on ouvre l’intégrale tous les soirs.